communication
Conversation téléphonique entre hommes et femmes durant le jeûne. Quel est le jugement , sur une conversation entre un homme et une femme au téléphone pendant le jeûne. Et qu’en est-il , si ils sont fiancés? La conversation entre un homme et une femme , au téléphone n'est pas permise , car il y a en cela une fitna (danger). Sauf si la femme , est fiancée , à celui , auquel elle parle . La conversation , doit simplement être destiné à faire comprendre , quelque chose destiné au mariage. Cependant, ce qui est meilleur et plus sûr pour l’homme , est de parler directement au wali (tuteur) de la femme. Quant à la conversation entre un homme et une femme , en dehors de la question du mariage, n'est pas permise . Car il y a en cela une grande fitna , et cela peut mener à une chose interdite . Si , ceci se déroule pendant le jeûne, cela l' affectera et le diminuera dans la récompense ( le jeûne ) , car ce qui est exigé , au jeuneur , est de protéger son jeûne , en s'éloignat des interdits . Et combien de problèmes moraux et sociaux font suite , aux conversations téléphoniques entre hommes etfemmes! Il est obligatoire au wali , de les empêcher et de les surveiller , et ce pour éviter qu’elles ne tombent, dans ce danger. TIREE DE SALAFIS DE L EST discuter par écrit avec sa futur femme sur msn yajouz ou la yajouz chayk al Fawzan Est-il permis à un frère et une soeur sur le point de se marier de parler entre eux ? Si ils souhaitent discuté entre eux au téléphone , cela est permis , à conditions que cette discussion ne soit basés que sur le mariage , si ils se sont acceptés l'un , 'autre . Cette conversation ne doit pas durer longtemps et cela afin d'éviter toute fitnas , cela serait meilleur pour eux qu'il y ait la présence d'un walli . Par contre , les discussions entre hommes et femmes , afin de se connaitre est interdite source : fatawa al maraa al mouslima page 374
Shaykh Ibn Fawzan
Fatawa Ramadhan - volume 2, p.760, Fatwa n°773;
Al-Muntaqaa min Fatawa Shaykh Salih ibn Fawzan - volume 3, p.162-163
fatawa al maraa al mouslima page 374 :